La guerre de l'esprit est pour les lâches du grand petit combat
contre les humbles héros des masses couchés dans l'ombre d'une grande foi.
Un regard touchant de vérité n'est battu qu'en repoussant le jour de révélation.
Si le soleil se lève un jour, les soldats de fer se coucheront
car leurs champs de bataille n'est qu'une terre volée,
désertée par l'amour et la patience du paysan touché.
Seul lui peut cultiver et labourer cette terre jusqu'au coeur pour en changer la vue.
Epouse ce monde de ta science car la violence n'est que signe d'arrogance
et les arrogants seront toujours impuissant face à la beauté de ce monde invaincu.
Tant que des âmes seront touchées, émerveillées par cet astre se couchant à l'horizon
et Dieu que la vulnérabilité d'une beauté peut aveugler selon l'axe de notre point de vue et des saisons,
dans ce qui semble être qu'une fin de journée
où seul l'homme en vérité peut se coucher jusqu'au dernier
avec l'écho de ses choix passés dans l'ombre du grand combat.
jeudi 28 mars 2013
lundi 28 janvier 2013
Je t'aimais
Je t'aimais comme un serpent envouté.
Oui, je t'aimais, mon coeur s'est mis debout tout entier.
Je t'aimais comme la terre sèche attendait la pluie inespérée.
Oui je t'aimais, du regard enchanté à un coeur inondé, j'ai coulé.
J'ai esperée comme un coeur dépourvus de corps pour aimer.
Oui je t'aimais ainsi, même le temps de quelques minutes aurai sufis
à annuler la patience d'une vie,
pour remarcher sur le pond des amours une chaude nuit d'été.
Je me suis vue être aimée comme je suis, comme je l'ai fait,
marchand sur des ponds désert au retour d'un rêve imposé
pendant une pluvieuse nuit d'hiver sur mon visage mouillé.
Je te savais le verre plein écrivant quelques airs, marchant vers mon passé.
Mon esprit vidé, tu buvais le nectar de mes douces pensées,
tu t'enivrais de mon souvenir et moi je t'aimais, comme je t'aimais
Oui, je t'aimais, mon coeur s'est mis debout tout entier.
Je t'aimais comme la terre sèche attendait la pluie inespérée.
Oui je t'aimais, du regard enchanté à un coeur inondé, j'ai coulé.
J'ai esperée comme un coeur dépourvus de corps pour aimer.
Oui je t'aimais ainsi, même le temps de quelques minutes aurai sufis
à annuler la patience d'une vie,
pour remarcher sur le pond des amours une chaude nuit d'été.
Je me suis vue être aimée comme je suis, comme je l'ai fait,
marchand sur des ponds désert au retour d'un rêve imposé
pendant une pluvieuse nuit d'hiver sur mon visage mouillé.
Je te savais le verre plein écrivant quelques airs, marchant vers mon passé.
Mon esprit vidé, tu buvais le nectar de mes douces pensées,
tu t'enivrais de mon souvenir et moi je t'aimais, comme je t'aimais
dimanche 27 janvier 2013
Les mots que j'aimais
Tous les mots sont beaux, tous les mots se valent,
même ceux qui font mal,
tant que le coeur est sincère.
Quel peut être le coeur d'un mot à part la sincérité?
Celle qui fait qu'ils sonnent vrai.
Celle qui donne plusieurs voix aux mots muets.
J'ai grandi en les aimant mais une seul voix me les a fait haïr,
depuis je ne veux plus qu'ils me touchent,
je ne veux plus qu'ils me touchent.
Le dégoût du mensonge dans ce qui ressemblait à de la bonté
dès lors où ce qui est amour peut être haine
et ce qui tolérance peut être mépris.
C'est tout ce que m'avait appris la voix des autres
avec ces mêmes mots qui m'ont vu grandir.
même ceux qui font mal,
tant que le coeur est sincère.
Quel peut être le coeur d'un mot à part la sincérité?
Celle qui fait qu'ils sonnent vrai.
Celle qui donne plusieurs voix aux mots muets.
J'ai grandi en les aimant mais une seul voix me les a fait haïr,
depuis je ne veux plus qu'ils me touchent,
je ne veux plus qu'ils me touchent.
Le dégoût du mensonge dans ce qui ressemblait à de la bonté
dès lors où ce qui est amour peut être haine
et ce qui tolérance peut être mépris.
C'est tout ce que m'avait appris la voix des autres
avec ces mêmes mots qui m'ont vu grandir.
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