C’était écris un lundi que tu m’oublirai un dimanche, oui, c’était écris.
Tous ce qui s’était passés entre temps n’étaient que le passé
d’une personne que tu n’as jamais été.
Tous ce que tu seras pour la suivante sera
tous ce que tu n’as pas su être pour moi,
en ce temps, le plus beau des temps,
aux printemps de notre amour et de ce qu’on aurait pu être.
Un amour sans saison, sans soleil brulant
ni même feuilles mortes et sans raison
juste des mots acides tels les fruits qui semblent venir d’un printemps
inventé pour envoyer mon cœur hors du temps.
Dans l’irréelle et pourtant regrettable temps,
aux sentiments d’abandon et l’avortement du fruit
de nos deux mondes à jamais séparés.
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